Dans quelques jours, s’il parvient à s’acclimater à l’altitude et si les divinités himalayennes lui accordent une petite fenêtre de ciel bleu, Pascal Denoël tentera l’ascension de l’Everest sans oxygène. Il s’apprête à déposer sur le toit du monde un objet confié par ses 200 salariés.